Dans les années de la création de l'Euro, les grands esprits de l'économie avaient formalisé les grands principes d'une économie stable et sans failles. Un déficit budgétaire de 3% et une augmentation de la production de l'ordre de 5% devaient aboutir à un plein emploi et au financement d'un progrès social continu. Ces grands principes alliés à une monnaie forte, obsession des allemands, on été la base de Maastrchit.
Les évènements ont montré que cela ne fonctionnait pas. Et malgré tout, les principes n'ont jamais été remis en cause.
Les premiers signes du doute apparaissent et des voix de plus en plus nombreuses réclament un changement de logiciel. Sii les marges de manœuvre des États sont extrêmement réduites, la BCE et la commission de Bruxelles ont les cartes en main.
s'il semble évident qu'il ne faille surtout pas faire fonctionner la planche à billets comme les américains, il est possible d'emprunter, l'Europe n'étant pas du tout endettée.
celà permettrai de plus de récupérer les sommes qui ont sauvé les banques en 2008. Cet argent investi dans les grands travaux, dans la recherche, dans la transition énergétique et dans l'éducation provoquerai un choc d'activité qui boosterait la croissance.
Vite, il est encore temps!