C'est le montant de la rallonge dont la Grèce pourrait avoir besoin, une fois le programme d'aide européen bouclé en juillet 2014, pour atteindre l'objectif de réduction de la dette fixé par ses créanciers internationaux, selon le FMI. Celui-ci précise qu'il s'agit d'un scénario "optimiste", fondé sur l'hypothèse d'une reprise de la consommation et de l'investissement, ainsi que sur la poursuite des réformes structurelles.