Au plan mondial, comme au plan national, on a perdu le sens de la solidarité. Quand il a fallu sauver les banques, les solutions ont vite été trouvées. Néanmoins, l'opinion mondiale est aujourd'hui mobilisée et ce sommet a pour la première fois réuni tous les pays du monde. Il va être plus difficile d'être de mauvaise fois dans 6 mois à Berlin.
Déception
Le sommet de Copenhague est maintenant terminé. La montagne a accouché d'une souris. Les égoïsmes nationaux l'ont emporté. Les surprises de taille se sont accumulées. Ainsi en est-il de l'Inde et
de la Chine qui ont mené la Fronde des pays émergeants, en mettant en avant les seconds rôles comme le Soudan et la Mauritanie. Obama l'a bien compris en cherchant le dialogue avec les pays du
Pacifique, au grand dam de Sarkozy. Il est clair que l'Europe n'est plus le centre du monde. Et pourtant, c'est le seul partenaire autour de la table a faire des efforts notables en matière
d'écologie. Rien n'est encore perdu, mais c'est mal engagé.
Au plan mondial, comme au plan national, on a perdu le sens de la solidarité. Quand il a fallu sauver les banques, les solutions ont vite été trouvées. Néanmoins, l'opinion mondiale est aujourd'hui mobilisée et ce sommet a pour la première fois réuni tous les pays du monde. Il va être plus difficile d'être de mauvaise fois dans 6 mois à Berlin.
Au plan mondial, comme au plan national, on a perdu le sens de la solidarité. Quand il a fallu sauver les banques, les solutions ont vite été trouvées. Néanmoins, l'opinion mondiale est aujourd'hui mobilisée et ce sommet a pour la première fois réuni tous les pays du monde. Il va être plus difficile d'être de mauvaise fois dans 6 mois à Berlin.
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