Si la nouvelle peut paraître réjouissante, la création d'un nouveau service fermé ne peut qu'inquièter sur la motivation qui a présidé à cet investissement. Le statut du malade mental glisse lentement vers une régression majeure, l'enfermement. Le malade, redevient un individu dangereux qui doit être enfermé! Cette attitude,inacceptable et dégradante, est aussi une vaste manipulation de l'opinion publique! S'il fallait enfermer les patients à risque schizophenes, ce sont plus d'un millions d'individus qu'il faudrat accueillir et soustraire à la capacité d'être suivi en milieu ouvert, à compter du moment où leur pathologie se révèlerait. Absurde! Le caractère démagogique de cette démarche doit nous inciter à la vigilance la plus extrème.
Des moyens accrus, une volonté perverse
Le Centre Hospitalier du Rouvray vient d'être choisi pour un investissement d'envergure en matière de psychiatrie.
Si la nouvelle peut paraître réjouissante, la création d'un nouveau service fermé ne peut qu'inquièter sur la motivation qui a présidé à cet investissement. Le statut du malade mental glisse lentement vers une régression majeure, l'enfermement. Le malade, redevient un individu dangereux qui doit être enfermé! Cette attitude,inacceptable et dégradante, est aussi une vaste manipulation de l'opinion publique! S'il fallait enfermer les patients à risque schizophenes, ce sont plus d'un millions d'individus qu'il faudrat accueillir et soustraire à la capacité d'être suivi en milieu ouvert, à compter du moment où leur pathologie se révèlerait. Absurde! Le caractère démagogique de cette démarche doit nous inciter à la vigilance la plus extrème.
Si la nouvelle peut paraître réjouissante, la création d'un nouveau service fermé ne peut qu'inquièter sur la motivation qui a présidé à cet investissement. Le statut du malade mental glisse lentement vers une régression majeure, l'enfermement. Le malade, redevient un individu dangereux qui doit être enfermé! Cette attitude,inacceptable et dégradante, est aussi une vaste manipulation de l'opinion publique! S'il fallait enfermer les patients à risque schizophenes, ce sont plus d'un millions d'individus qu'il faudrat accueillir et soustraire à la capacité d'être suivi en milieu ouvert, à compter du moment où leur pathologie se révèlerait. Absurde! Le caractère démagogique de cette démarche doit nous inciter à la vigilance la plus extrème.
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