Une polémique se fait jour sur la participation d'un groupe de rap aux Francofolies de La Rochelle. Ce groupe avait il y quelques années défrayé la chronique avec une oeuvre contestée par de
nombreuses association pour son apologie de la violence conjugale. Ségolène Royal serait intervenue pour interdire ce groupe de scène. L'avenir dira ce qui s'est réellement passé et la justesse des
positions prises par les uns et les autres. L'interrogation était pour le moins légitime.
Le comble et l'outrance viendraient plutôt de l'inénarable Frédéric Lefebvre, éphémère député et porte parole de l'UMP.
Dans un communiqué outré, il défend la liberté de création contre "la presque démoniaque "présidente de Poitou Charente. Restons sérieux! L'UMP et surtout monsieur Lefebvre en défenseurs de la
transgression , ce n'est pas crédible. Si leurs électeurs savaient....... Oui, après l'affaire Orelsan, il faut une table ronde sur le rap et l'image de la femme en banlieue. L'idéal serait la parité lors des débats : un rappeur, une sale
pute.