/image%2F0837548%2F20150131%2Fob_c86d3f_sh106728.JPG)
Le quinquennat en cours a été marqué par de vives tensions entre le pouvoir exécutif et les magistrats, qui se sont souvent mobilisés contre les réformes engagées par le gouvernement, parfois vécues comme des atteintes à leur indépendance : le projet de suppression du juge d'instruction, la réforme de la carte judiciaire, l'introduction des jurés populaires dans les tribunaux correctionnels...
lorsque l'on assiste en direct aux procédures de la justice américaine, on frémit à l'idée que la suppression du juge d'instruction que nous promet Nicolas Sarkozy pourrait rapidement nous amener vers les mêmes dérives. Il ne faut pas être naïf, la procédure engagée va aboutir, come dans plus de 90% des cas à une transaction financière et pénale entre la victime supposée, l'agresseur supposé et le procureur.
Les avocats de DSK vont engager des enquêteurs pour éplucher la vie de la plaignante, sans états d'âme et avec tous les moyens financiers qu'il peut engager, à savoir presque sans limites. Ce type de procédure est clair: plus vous avez de moyens, plus vous avez de chances de vous en tirer!
Les sommes qui seront proposées seront suffisament motivantes pour que la plaignante soit amenée à refléchir....
En fait, la dignité, le droit et la condamnation éventuelle de faits délictueux ne sont plus le sujet. les parties se sont désormais lancées dans une partie de poker menteur où chacun met sur la table "pour voir"
On a beaucoup critiqué les "petits juges" qui osaient s'en prendre aux grands et aux puissants de ce monde, et finalement, celà ne fonctionne pas si mal. Au moins les juges français n'agissent pas en fonction de leur future réelection!
/https%3A%2F%2Fassets.over-blog.com%2Ft%2Fcedistic%2Fcamera.png)
/http%3A%2F%2Fgenerationcare.fr%2Fm4575bxd%2Fuploads%2F2016%2F11%2F2010-07-15-BrugesConvent_MG_9826_4_5_pf-1500x550.jpg)
/image%2F0837548%2F20150131%2Fob_d70b09_de-falco-balluet-bresolution.jpg)