La suppression de la taxe professionnelle que Sarkozy veut nous imposer contre toute logique et sans réelle compensation pour les collectivités locales n’est pas encore votée. Après Alain Juppé qui a déclaré à ce sujet que « l’on se foutait du monde ! », c’est aujourd’hui Jean Pierre Raffarin qui annonce son refus de voter cette suppression en l’état.
Combien de maires de petites communes ont accepté par exemple l’implantation d’éoliennes sur leur territoire, malgré quelques nuisances pour avoir les moyens d’un développement nouveau et qui voient aujourd’hui leurs efforts réduits à néant, c’est inacceptable !
Et ce n’est qu’un exemple. Les parlementaires de droite commencent à se rendre compte des dangers de la politique inacceptable que mène le gouvernement sous la surveillance vigilante de l’omniprésident Sarkozy.