"Je veux rendre hommage aux syndicats qui ont eu le sens des responsabilités et ont à cœur de défendre au mieux les intérêts des fonctionnaires.
Je veux aussi jouer cartes sur table : nul n'a le droit de monopoliser la parole des fonctionnaires.
Il y a le temps de la discussion collective avec les organisations syndicales et le gouvernement mais il faudra également que chaque fonctionnaire e donner son opinion sur les missions du service public, sur le périmètre du statut des
fonctionnaires. Je souhaite qu'on le fasse sans tabou. La réforme de la fonction publique ne se fera pas sans les représentants du personnel mais
je veux vous le dire : la réforme de la fonction publique, pour que vous viviez une qualité de vie dans votre travail, je la conduirai".
Cette manière de faire devient odieuse. Mais, encore une fois, et on en prend l'habitude, on assiste à un effet d'annonce sans suite, comme "le président du pouvoir d'achat, travaillez plus pour
gagner plus, la fin des droits de succession," etc, etc. Quand les français ouvriront-il les yeux?