L'un des exemples les plus frappants est bien la voie vélo pont Boildieu. La signalisation est tellement défaillante que des voitures s'engagent dans la voie vélo au moins 10 fois par jour, alors
que les cyclistes devraient à juste titre s'y sentir en sécurité. De même, la sortie de la voie vélo au bas de la rue Grand pont n'est pas signalée aux automobiles qui tournent à droite. Là encore,
les cyclistes qui peuvent se penser en sécurité risquent de se faire renverser, car ils sont en plus cachés par les véhicules en stationnement.
Il est clair que le vélo en ville est une des solutions pour alléger la circulation des autos et la rendre plus fluide, car il n'est pas question de l'interdire. L'espace public en centre vlle est
rare donc précieux et il faudra le partager. Il est évident aujourd'hui que le réseau cyclable est incohérent et dangereux. Il est certain qu'il ne peut se concevoir qu'à l'échelle de
l'agglomération et que le Département est disposé à favoriser toute initiative allant dans ce sens; il conviendra d'ailleurs, vu la topographie de notre ville de proposer plusieurs types de
vélos, dont des vélos électriques.
Mais de grâce, ne mettons pas la vie des cyclistes en jeu au prétexte de faire moderne!
La signalisation est à revoir de toute urgence pour commencer.
Voilà l'illustration de ce qu'il ne faut pas faire, la remarque concernant le pont boildieu est valable pour la presque totalité des voies "dites" cycliste de la ville. Dans beaucoup d'endroit les pistes commencent n'importe ou et finissent en queue de poisson ( ou en eaux de boudin, c'est au choix)ex : La rue Sainte Marie ( Départ sur le Boulevard de l'Yser arrivée dans le couloir à bus de la rue Louis Ricard) Rue Victor Hugo ( A contre sens, départ rue d'Amiens arrivée sur les quais, pas de piste au départ, pas de piste à l'arrivée) Rue jean Lecanuet : la piste existe-elle toujours ? voilà quelques exemples de l'anarchie actuelle. Puisse le futur Conseiller Général du 1° canton aider à remettre de l'ordre dans cette pagaille.