Les gouvernements libéraux ont abandonné leur pouvoir politique aux banques, aux agences de notation et aux grands actionnaires. Ceux-ci ont donc toute liberté pour spéculer contre les États et contre l’euro !
Pour brouiller les pistes et cacher cette forfaiture, Sarkozy n’avait pas hésité, il y a trois ans à Toulon, à dénoncer les dérives du capitalisme financier, en pleine tourmente financière internationale.
Mais, trois ans plus tard, les critiques du rôle de la BCE ne peuvent masquer la soumission aux traités européens. Les missions de la BCE sont contraires à celles qui doivent être confiées à une banque centrale : elle devrait être un outil au service de la puissance publique et de la création monétaire !
Au lieu de celà, la BCE s'en tient strictement à la position rigoriste de l'Allemagne et laisse les Etats de la zone Euro sans défenses contre les spéculateurs qui représentent ceux qui possèdent déjà tout et qui en veulent encore plus!
Il faut que celà cesse très vite. En mai 2012 par exemple?