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Le blog de Eric de Falco

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conseiller général du 1° canton de Rouen


L'espoir...

Publié par Eric de Falco sur 27 Janvier 2011, 08:38am

Catégories : #politique nationale

DSK et Aubry battraient largement Sarkozy au second tour

A la question "si le second tour de l'élection présidentielle avait lieu dimanche prochain" pour quel candidat "y aurait-il le plus de chance que vous votiez?", 64% des personnes exprimant des intentions de vote se prononcent en faveur de Dominique Stauss-Kahn s'il est candidat, contre 36% pour Nicolas Sarkozy. 21% n'ont pas exprimé d'intention de vote.
En novembre 2010, rappelle BVA, une enquête TNS-Sofres accordait 62% des intentions de vote au directeur général du FMI, et 38% au président sortant.
Dans l'hypothèse d'une candidature Aubry, 57% des personnes exprimant une intention de vote voteraient pour elle, au lieu de 55% dans le sondage TNS-Sofres de novembre. Nicolas Sarkozy recueillerait 43% (contre 45%). 19% des personnes interrogées n'ont pas exprimé d'intention de vote.

 

DSK, meilleur candidat socialiste au premier tour

Au premier tour, Dominique Strauss-Kahn serait en tête s'il était le candidat socialiste avec 31% des intentions de voix, suivi de Nicolas Sarkozy, 25%, et Marine Le Pen, 17%. Tous les autres candidats testés auraient moins de 10% : Olivier Besancenot (NPA) 7%, Eva Joly (EELV) 6%, François Bayrou (Modem) 5%, Jean-Luc Mélenchon (PG) 4%, Dominique de Villepin (République solidaire, UMP) 3%, Jean-Louis Borloo (Parti radical UMP) 2%, Nathalie Arthaud (LO) 0%.

Si Martine Aubry est la candidate PS, Nicolas Sarkozy (27%) arriverait au premier tour devant elle (23%) et Marine Le Pen (17%). Olivier Besancenot recueillerait 7% des intentions de vote, Françis Bayrou 6%, Jean-Luc Mélenchon, Eva Joly, Jean-Louis Borloo et Dominique de Villepin 5%, Nathalie Arthaud 0%.
Pour BVA, Nicolas Sarkozy, qui "au second tour serait balayé par Martine Aubry et humilié par Dominique Strauss-Kahn", "ne dispose d'aucune réserve de voix, le centre, comme l'extrême droite lui préférant encore le candidat de gauche".
"Ces mauvais reports s'expliquent, ajoute l'institut, par la cote de popularité du président qui stagne toujours à 34%, 16 points en dessous de celle de son Premier ministre".

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